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A l'origine du monde et à la place du mort, 2020, eau-forte sur cuivre, 40 x 50 cm.

Commande du Musée Goya de la ville de Castres / Gravure de l'année 2020

Gravure de l'année 2020 BAT_edited_edite

PROPOSITION POUR LE PLAFOND DE L’AUDITORIUM GERARD LAVAL DE L’INSTITUT DE MUSIQUE ORPHEE / PROJET LYRAE / 2018

 

 

Les commanditaires :

Le fond Orphée est un fonds de dotation pour valoriser la musique d'harmonie, situé à Roquecourbe dans le Tarn.

Depuis sa création en 2010, le Fonds de dotation Orphée n’a cessé d’œuvrer pour la réalisation de sa mission. L’institut de musique Orphée a ainsi été inauguré en février 2016 dans l’ancienne usine Gout, notre généreux donateur, où le public a apprécié ces nouveaux locaux flambant neufs et parfaitement adaptés à nos activités. Nous saluons les artisans locaux pour leur travail et leur investissement : 30% des travaux ont été financés par du mécénat de compétence.

Aujourd’hui, l’Eveil Roquecourbain a le plaisir de voir les inscriptions pour l’école de musique en formidable expansion : une quarantaine d’élèves encadrés par sept professeurs.

Les projets vont bon train et nos équipes sont pleinement investies : travaux de la salle de répétition, classement et création d’une base de données pour la partothèque, aménagements de l’espace muséographique, aménagement de l’auditorium…

Il est donné carte blanche à Elisabeth Delétang pour le plafond de l’auditorium de l’institut. Le thème d’Orphée (nom éponyme de l’institut) est une des pistes de travail proposée par les commanditaires.

 

Le projet :

Proposition pour le plafond de l’auditorium Gérard Laval de l’institut de musique Orphée.

La technique du monotype est apparue évidente au regard du mythe d’Orphée tendu entre ombre et lumière.

De l’ombre de l’encre prélevée, triturée, effacée, paraît la lumière du papier. L’image surgit. Ces images, s’il en est, convoquent ici les empreintes laissées par la lecture du mythe. Elles n’en sont pas une illustration, elles en sont des réminiscences, des mouvements.

Quand on regarde un plafond, on regarde le ciel. Des applications sur téléphone mobile permettent de connaître la position des étoiles au-dessus de nous, même à travers une paroi. Une façon de tendre un lien vers le cosmos ?

Une constellation donc, celle de la lyre. Plus précisément, la représentation de cette constellation devient la structure dessinée de cette installation.

Les lignes de ce dessin sont reportées au plafond avec du ruban de cuivre, en référence aux instruments à vent de l’orchestre d’harmonie et vient tirer le lien entre les tondi.

Au lieu des étoiles qui composent cette constellation, les tondi trouvent place. Sept sont retenus. Leur diamètre tient compte de la taille relative des étoiles.

Tous réalisés avec la technique du monotype, un seul reçoit des dessins à la ligne claire de figures évoquant le mythe. Il est placé en introduction, à l’entrée de cet espace, et vise à favoriser la lecture de l’installation dans son ensemble.

Travaillés sur papier, ils sont photographiés et tirés sur dibon au diamètre souhaité pour être installés.

TONDI ET DIAMETRES.jpg
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